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Mihar T. Wiesinger
I’m not b a d ● Just m a d
Mihar T. Wiesinger
Messages : 60
Clubs : 25
Date d'inscription : 26/11/2018
Localisation : Derrière toi couillon.
Lun 26 Nov - 20:46
avatar2

I'm so good at the beginnings, but in the end I always seem to destroy everything, including myself.

nom Wiesinger
prénom Mihar, Till.
âge 23 ans
date de naissance 21 Juin 1995
origines Autrichiennes
nationalité Autrichienne, bénéficie du visa F-1
groupe Poor
études PhD International Business (6ème année), club de sport
orientation sexuelle Tant que ça a un trou...
état civil Balek
situation familiale Fam-quoi?
situation financière Putain de riche mais oh wait, déshérité /PAF
Avatar Doom Bringer || Elsword
My own mind scares me.

M U S I C


« The Devil went down to the holy land,
saw it was already fucked and he thought to himself :
what a mess, beautiful mess, my bidding is done! »

Flash rouge.
Fumée volante.
Trait hasardeux,
Ivre.


Les mots s’extirpaient de tes lippes au rythme des virages, la carrosserie luisante de la Cadillac se reflétant sous les rayons de l’astre. Écrasant le levier de vitesse, tu faisais crisser les pneus, entamant l’asphalte, zigzaguant sans but parmi les files de voitures. C’était une bonne journée comme tu les aimais. Ta voiture, ta musique et personne pour te faire chier. Enfin presque. Pour tout dire, tu n’avais plus de doigts - autant de pieds que de mains - à force de tous les compter. Ceux qui te hurlaient dessus de ralentir. Ceux qui te demandaient de baisser ta sono. Ceux qui te klaxonnaient car tu les doublais au dernier moment. Ceux qui t’insultaient de petit con ; ce à quoi tu répondais par ton majeur - indiscipliné - toujours levé rien que pour eux. Ou encore ceux qui se prenaient la fumée de ta cibiche que tu leur crachais niaisement au nez, tes commissures étirant un sourire radieux.


« What a mess, beautiful mess, ROCK N' ROLL! »

T’étais aux anges. Marquant un stop au feu rouge, tes doigts gantés venaient tapoter nerveusement le tableau de bord, les cendres tombant lentement dessus.
Aussi loin que tu te souviennes, t’avais toujours été ainsi. Vivant. Tu vivais ta vie à cent à l’heure, ne manquais jamais aucune opportunité, t’affranchissais de toute règle ou loi. La vie était faite pour être vécue et non pour être passée à genoux, l’échine courbée à vivre ce qu’on te dit de vivre. T’étais pas comme ça toi. Toi, la vie, tu t’y accrochais. Avec une telle force et rage que c’en devenait effrayant. Toi, t’avais pas peur. T’avais jamais peur. T’es cette personne là, celle qui va agir avant de réfléchir. Celle qui va foncer dans le tas malgré les dangers. Celle qui se fiche de tout. Et paradoxalement de sa propre vie. Si tu dois crever demain, soit! Tu crèveras sans regrets, le sourire aux lèvres d’avoir vécu pleinement.


« The Devil went down to the holy land,
he took a piss on our backs ,
so we could swear it was rain! »

Toi, t’es cet idiot, qui a roulé le respect puis l’a fumé. T’es pas poli pour un sou. Tu te fiches royalement des normes sociales et de comment tu dois t’adresser à untel ou unetelle. Non, toi, tu mets les pieds dans le plat direct. Insolent, provocateur, arrogant. Toujours le petit mot pour vous faire sortir de vos gonds. Toujours le petit mot pour blesser et agacer. Tu te moques que de blesser autrui. L’empathie, t’en as pas vraiment, tu piges pas comment ça marche, toi. Ça te sert à rien, si ce n’est qu’à être un gros débile qui va chialer devant le remake de Titanic en s’enfilant des beignets. Vulgairement, t’es un sale gosse. Et en plus, t’as la tête dure. Rien n’y rentre, ni n’en sors. Tu te défiles devant rien et gardes tes positions, qu’importe la situation ou la tournure de celle-ci. Une volonté en béton armée, c’est encore trop peu pour toi. Tu es un battant, un gars qui en veut et qui s’en donne les moyens.


« Thought police was firmly on control... »

Oui, tu peux être ce connard, qui va se donner les moyens de vous pourrir le plus horriblement la vie. Oui, tu peux être ce chieur, qui va toujours tout faire pour vous faire criser. Oui, tu peux être ce gars là, qui veut un avenir. Même s’il en montre rien parce qu’il pense que sa vie est foutue. T’es malade, Mihar. Malade de vivre. Malade d’être là. Elle est là, dans un coin de ta caboche. Veille le moindre de tes gestes, étrangle tes émotions pour violemment te les jeter dans le visage. Alors t’exploses, t’en deviens violent, inhumain. Un animal. Qui se doit d’être maîtrisé. Éduqué. Enchaîné. Alors tu fumes, tu te défonces avec la moindre merde que tu dégottes, parce que la maladie, elle te défoncera avant, tu le sais. Elle joue avec tes émotions. Les fait sienne.


« ... We’re never gonna be cold... »

Tantôt elle te les retire et tu deviens ce robot, qui ne ressent plus rien, ignore toute lois et conséquences. Tantôt, après les avoir bidouillées, elle te les rends et te voilà aux affres de la douleur, à hurler tout ce qui te bouffe, à exploser sans raison. A tout noyer sous les fleurs pourpres du sang d’autrui. Elle te possède, te connaît. Sait parfaitement user de tes propres démons contre toi. Une guerre dans ton crâne. Tu te bats chaque jour contre toi-même. Pour ne plus te blesser. Pour ne plus blesser le peu que tu puisses aimer. Pour vivre une vie normale et non à cent à l’heure. Tu t’en rends compte, n’est-ce pas? Que tu te contredis sans cesse. Un paradoxe. Tu ne te contrôles pas. Là, t’es bien, tes mains gantées fermement serrées contre ton volant ciré.


« You know the Devil is Lord! »

T’es bien là, à entamer la route de la patine des pneus, grillant quelques feus. Puis quelques stops. Puis quelques limites de vitesses. Des voix te montent au crâne, on t’injurent. T’engueulent. Tu souris, ton éternel doigt d’honneur encore levé. T’esquives de justesse le poids-lourd en face de toi, tu ne te rends pas compte. Tu aurais pu mourir. Mais non, l’adrénaline, il n’y a que ça de bon! Tu ne peux plus lutter, elle t’a encore eu. T’as emmené dans les plus sombres recoins de ton esprit. Fait de toi sa marionnette favorite. Puise dans tes souvenirs. Te dépouille de toute responsabilités. Bientôt, bientôt, elle te jettera dans le gouffre. Bientôt, bientôt, tu crieras Mihar. Tu chantes, à t’en rendre aphone, pour ignorer cette alarme mentale qui te dit que tu dépasses les bornes. T’as pas de limites, tu ne les connais pas. Tu es dangereux Mihar, tu le sais. Pour eux comme pour toi. T’as pas de limites. T’as déjà fait cent bornes de trop et ta ligne de conduite, elle est des miles trop loin. Marche arrière impossible.

Tu tournes sèchement, gares ta bagnole d’une traite, coupes ta radio. Balances ta clope. Puis tu pars rejoindre l’internat, t’as une piaule - chambre plutôt - là-bas. T’es encore seul et t’es bien heureux. Tu veux pas qu’on te voit ainsi. Car là, t’en as conscience. Qu’elle t’a bien enculé ta maladie. Tout est retombé. Plaisir, adrénaline, insouciance. Ne reste que ce poids amer, lourd. Indigeste. Il te remue les tripes, te serre l’estomac. Tu cours. Cours jusqu’à ta chambre, passe les marches quatre par quatre, te précipites dans le couloir dansant. Les lumières dansent, les sons te poursuivent. Les regards. Leurs yeux, tous leurs yeux rivés sur toi. Ta confiance s’effrite, ne laisse voir qu’un visage inquiet, un sourire si gamin disparu, barricadé derrière une moue tordue.

Tu insères la clé, te rates, recommences. Tes mains tremblent. Tu frappes ta porte, les mots coincés dans ta gorge. Restes un instant prostré contre, puis recommence. Elle s’ouvre. La lumière te pète les rétines. Tu fermes aussitôt celle-ci, te laisse glisser lamentablement contre la dos de ta porte, ton crâne se cognant contre. Tu trembles. T’es pris de spasmes. Tes dents entament ta lèvre inférieure, tu gémis. Te retiens de crier comme un beau diable. Enfonce tes doigts dans tes avants-bras, tente bien d’arracher ses tatouages qui sont tiens. Ils cachent tout. Toute cette misère que t’as collée aux basques. Ils mentent. Sont mensongers. T’en peux plus. Pourquoi t’as encore perdu contre elle? Pourquoi t’arrive pas à lui tenir tête à cette putain de maladie? Pourquoi t’es aussi cinglé?

C’est le Diable, qu’ils disent.
T’y crois pas en ces merdes.
C’est juste toi, Mihar.

Simplement toi.
Rien que toi.

Et elle.
I am a satellite, I'm out of control.
T’es BG. Voilà.
Plus sérieusement, tu le sais trèèèès bien, même un peu trop, que t’es pas si mal fait que ça. A te regarder là, tout de suite dans le premier miroir que tu croises, t’y vois quoi ? Une perche. T’es un peu grand, dans le mètre quatre-vingt dix. Une perche longiligne, svelte. Tu possèdes une musculature développée et sèche. Tu n’es pas du genre rugbyman ou armoire à glace de hockey. T’es plutôt bien proportionné avec ce qu’il faut, où il faut - et pas ce à quoi tu penses, hein -. Étrangement, tu es haut sur pattes, des jambes interminables ; néanmoins guère fines. T’es pas une sauterelle aussi. Et heureusement. Tu soupires, soufflant tes mèches neiges. Ah, ta chevelure, c’est tout un art. Tu passes ton temps à te décolorer la tête. Parfois t’es rose, parfois bleu, parfois vert - ta couleur naturelle est par ailleurs un mystère - … Mais t’adores le blanc. Ça te rappelles à quel point t’es censé être pur et à quel point t’as merdé. T’adores.

Alors pour la plupart du temps, ta tête est blanche. T’es pas doué pour te coiffer, vraiment pas. T’as beau passer vingt minutes tous les matins collé à ton miroir, peigne en main, à martyriser ton cuir chevelu, tes petits spartiates n’en font qu’à leurs têtes et redeviennent aussitôt en bataille. Donc tu laisses tomber et te trimballes avec la coupe susnommée « j’sors du lit maggle ». Tes spartiates immaculés, ils sont mi-longs, arrivant au bas de ta nuque et épais. Paraîtrait qu’ils sont doux. Seulement le dernier qui a essayé de te caresser la tête a fini encastré dans un mur. Oui. Tu ne supportes pas le contact. Tu ne le supportes pas si tu ne l’induis pas de ton propre gré. Tu prendras souvent sur toi si la tronche de la personne te revient. Sinon, tu esquives juste ou le dit ouvertement, sans retenue. Au pire, ton visage parle pour toi. T’es assez expressif, quand tu le désires.
   
Un visage anguleux, à la peau lisse sans imperfections. T’as pensé à postuler chez l’Oréal ? Ou une marque du genre pour une crème ? On t’a affublé d’un teint très clair, loin d’être blafard. Presque innocent. Tu l’aurais hérité de ta mère et dans le fond, ça te fait chier. En plus de ressembler à un rouleau d’essuie-tout sur pattes, tu dois te coltiner le souvenir de ta mère. Des lèvres fines, un regard tantôt perçant, tantôt glacé, tantôt conciliant. Tes prunelles sont originellement vertes mais comme t’es un poil excentrique sur les bords, tu portes des lentilles mauves. Parlons-en, de ton excentricité. T’as des tatouages. Beaucoup de tatouages. Ils sont ici pour cacher la misère de tes dérapages. La misère de tes pétages de plombs. La misère du passé, de ces marques. Ils n’ont pas de sens particulier, tu aimes l’abstrait. Ceux-ci couvrent l’entièreté de tes bras, de ton dos et de ton thorax. Petite mention spéciale à celui sur ton visage, t’avais cette cicatrice en horreur.

Chose surprenante, tu n’as pas cherché à tatouer ta gorge pour cacher cette vilaine cicatrice qui la parcourt. Un énième dérapage. T’as eu du bol d’être sauvé à temps. Ou pas. Tu t’en fous. Rugueuse, décolorée, il est difficile de ne pas la voir. Tu l’assumes en partie. A quoi bon la cacher ? Puis ça fait flipper les autres, alors ça te fait marrer. Dans la continuité du drôle d’oiseau, tu arbores tout le temps un manteau de plumes, jais. Tu l’adores et t’en sépares jamais. Il te tient à coeur. Ses plumes sont extrêmement douces et chaleureuses. Parfaites pour piquer un somme sur un rang d’amphithéâtre, bercé par la voix de ton enseignant. Sinon, tu t’habilles tout de même correctement, mettant en valeur tes attributs.

T’es un peu Christina Cordula, avec la poitrine en moins et des kilos de muscles en plus. Tu es coquet, attentif à ton apparence malgré cet air je m’en foutiste que tu as. Enfin, tu terminerais avec tes piercings. Un à la langue, le reste aux oreilles. Paraît que c’est pas trop mal quand on a quelqu’un dans notre vie.



T’es un puits sans fond question alcool. Tout entre et ne ressort jamais. Te voir ivre est assez difficile. ⯅ Tu ne sais même plus pour combien d’années de cancer t’as, tellement tu fumes comme un pompier. Toujours une clope au bec. ⯅ Ta violence, tu la canalises au travers le sport, notamment avec la pratique de Vale Tudo et de musculation. ⯅ Sinon t’exploses juste et tu t’isoles là où tu peux.  ⯅ Tu aimes tout ce qui touche à l’abstrait et à la géométrie. Va savoir ce que tu fous en économie. ⯅ Les chiffres c’est ton truc, t’es une Texas sur pattes. ⯅ Quand t’as pas le cerveau dans le pâté. ⯅ Ton thermos, c’est pas du café dedans. Enfin si, mais t’as fichu du whisky avec. Quoi de mieux que de décoincer avec un bon irish coffee? ⯅ T’es un voyageur, t’as ramené plein de souvenirs d’un peu partout. T’hésites pas à partir quand l’envie te prend. ⯅ T’aimes par ailleurs peindre et photographier. Tu passes beaucoup de ton mal être dedans.Sinon tu lis, tout et rien. Tu collectionnes les livres et les laisse s’empiler. ⯅
T’adores les chiens et plus que tous les oiseaux. ⯅ T’as même une pie domestique.
Memories

"I’ve got a war in my mind."

. . .

"I couldn’t trust my own emotions. Which emotional reactions were justified, if any. and which ones were tainted by the mental illness of BPD ? I found myself fiercely guarding and limiting my emotional reactions, chastising myself for possible distortions and motivations."
- Rachel Reiland -
Realizing just how thin the line is between having control and going way too far.
avatar1HRP
Pseudo(s) : Radis
Âge : Radis
Découverte du forum : Radis²
Commentaire : En Alabama, il est interdit de conduire les yeux bandés et de mettre du sel sur les voies ferrées sous risque de peine de mort.
Toutes les info demandées sont mises, on ne les voit juste pas quand on est sur la partie histoire car j'ai rien écris /PAF
©️linus pour Epicode


Mihar T. Wiesinger
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Gabriel Evans
Gabriel Evans
Messages : 123
Clubs : 18
Date d'inscription : 09/10/2018
Localisation : États-Unis
Lun 26 Nov - 21:42
Hello,

Bienvenue sur le forum ^^
Gabriel Evans
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Morgan K. Walker
I'm the big bad ♦️ w o l f
Morgan K. Walker
Messages : 430
Clubs : 25
Date d'inscription : 25/09/2018
Localisation : Tu veux pas savoir 8)
Mar 27 Nov - 11:21
Re~ Nan j'avais dis que je voulais pas que tu fasses ton perso ! /SUICIDE
Y a un soucis avec la partie présentant les informations de base ! Comme il n'y a pas des scroll on ne peut pas tout lire ! (perso sur ordi je m'arrête à la situation familiale et sur mon portable, à l'orientation sexuelle xD Il faudra donc soit modifier le code pour rajouter un scroll pour qu'on puisse tout lire, soit retirer quelques lignes! Dans la citation, ailleurs.. Pour qu'on ait toutes les info 8D

Wala, wala ♥️


Edit Ah ! Autant pour moi, j'avais pas vu ton commentaire sur mon portable, au sujet du fait qu'il fallait sortir de l'histoire pour voir toutes les info xD
Morgan K. Walker
http://chicagospulsions.forumactif.com/
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Mihar T. Wiesinger
I’m not b a d ● Just m a d
Mihar T. Wiesinger
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Date d'inscription : 26/11/2018
Localisation : Derrière toi couillon.
Mar 27 Nov - 14:30
CETTE HAINE ENVERS MON DC D:
*plor*
Mihar T. Wiesinger
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Narrateur
King and Queen
Narrateur
Messages : 355
Date d'inscription : 03/09/2018
Mar 27 Nov - 20:00
Tu es validé !

Alors voila comme j''étais quand j'ai vu ta fiche.

◄ I am not my disorder. ► [Terminée] Tumblr_n842737bhj1twaufoo1_500

Puis les pannes se sont enchainé contre moi et contre toi j'étais comme ca apres.

◄ I am not my disorder. ► [Terminée] Ured-01

Et un miracle c'est produit j'ai pus enfin te validé.

◄ I am not my disorder. ► [Terminée] Photofunky

Voila ma vie, ta validation était compliqué. Le destin ne voulais pas nous unir, mais je l'ai forcé. Donc c'est avec une grande et immense joie que je te valide mon petit bonhomme. Je t'aime bonhomme.

Tu es validé et tu rejoins les Poor.

Tu pourras recenser ton avatar, faire ta fiche de relation ainsi que ta demande de chambre et demander un rp, etc. si tu le souhaites !

Ah ! Et va faire ta demande d'adoption ! Nous rappelons que les poor ont obligation d'avoir un rich, alors autant que tu ailles donner tes propres conditions, au lieu que quelqu'un ne te soit assigné par défaut ! Mais regarde tout de même les demandes des autres, hein ! On sait jamais, si la perle rare avait déjà posté et n'attendait que toi !

Et pense que tu as aussi le droit depuis ton inscription, à passer nous voir sur le Discord !

Bienvenue dans l'aventure Rich and Poor, jeune jedi ♥️

Narrateur
https://rich-and-poor.forumactif.com
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